01/15/2024
Oliban
9 Reviews
Oliban
1
Fumoir!
Fumoir ,
Je n'attendais, absolument, rien de ce "fumoir" !
Il est lumineux, ambré, cuiré, fumé, voir cendré et assez "dark" sur la fin!
Et, pourtant, il a fonctionné comme un philtre d'attraction avec élégance et puissance !
C'est une invitation galante que j'ai reçu, une entrée avec un bon whisky malté, comme un Glenmorangie (je déteste le whisky !) et pourtant ! Celui-ci, est de ceux que l'on déguste, une fois dans sa vie.
Un whisky aux notes épicées de cumin poudré par la note de poivre mate.
Les notes boisées apparaissent assez rapidement (le flip pour moi, presque en hyperventilation). Mais, non ! C'est bon!
Des notes boisées matures, de bois de bouleau, vieux et sec, écoulant le reste de sa vie dans une résine proche de la myrrhe (celle qui sent bon la résine de commiphora myrrha !). Certains y sentiront une note de vinyle, j'y sens la myrrhe ! Un cuir épais mais souple.
Des notes boisées foulées par les bottes en cuir faites sur mesure, pour un jeune écuyer anglais, élégant, séduisant, séducteur timoré . Un très beau cuir de cellier.
L'attraction fonctionne !
Je ne décèle pas la note de rose ! Mais, ce cavalier doit la porter très près de son cœur. J'y accéderai ! C'est certain !
Il dégage une telle sensualité, sombre, ténébreuse ! C'est doux et légèrement suave comme le tabac à pipe mélangé à des cristaux d'ambre !
Il ne dégage rien d'animal (dans le sens bestial !). Ceci dit, si je rencontre à nouveau ce cavalier, cela pourrait être très torride !
Et finir, sur un lit de copeaux de bois brûlé aux essences de charbon tièdes.
Ici, resteront nos nuits, nos étreintes de braises, refroidies. Et, finir cette union dans une volute de cendres.
C'est un parfum clivant, on aime ou pas.
Difficile à porter au quotidien. Et, je n'y verrai pas l'intérêt ! Quoique…
IL est majestueux. Puissant. Il offre une belle évolution qui prend son temps.
Séduisant solennel. Plutôt le soir, pour une rencontre, une nuit, pour soi...pourquoi pas!
Il est tellement loin de mon univers olfactif et, si agréablement proche de ce que, je souhaitais qu'il possède et m'offre.
C'est une splendeur!
Une oeuvre d'art? Un tableau de Pierre Soulage sauvé du feu...
À tester
Je n'attendais, absolument, rien de ce "fumoir" !
Il est lumineux, ambré, cuiré, fumé, voir cendré et assez "dark" sur la fin!
Et, pourtant, il a fonctionné comme un philtre d'attraction avec élégance et puissance !
C'est une invitation galante que j'ai reçu, une entrée avec un bon whisky malté, comme un Glenmorangie (je déteste le whisky !) et pourtant ! Celui-ci, est de ceux que l'on déguste, une fois dans sa vie.
Un whisky aux notes épicées de cumin poudré par la note de poivre mate.
Les notes boisées apparaissent assez rapidement (le flip pour moi, presque en hyperventilation). Mais, non ! C'est bon!
Des notes boisées matures, de bois de bouleau, vieux et sec, écoulant le reste de sa vie dans une résine proche de la myrrhe (celle qui sent bon la résine de commiphora myrrha !). Certains y sentiront une note de vinyle, j'y sens la myrrhe ! Un cuir épais mais souple.
Des notes boisées foulées par les bottes en cuir faites sur mesure, pour un jeune écuyer anglais, élégant, séduisant, séducteur timoré . Un très beau cuir de cellier.
L'attraction fonctionne !
Je ne décèle pas la note de rose ! Mais, ce cavalier doit la porter très près de son cœur. J'y accéderai ! C'est certain !
Il dégage une telle sensualité, sombre, ténébreuse ! C'est doux et légèrement suave comme le tabac à pipe mélangé à des cristaux d'ambre !
Il ne dégage rien d'animal (dans le sens bestial !). Ceci dit, si je rencontre à nouveau ce cavalier, cela pourrait être très torride !
Et finir, sur un lit de copeaux de bois brûlé aux essences de charbon tièdes.
Ici, resteront nos nuits, nos étreintes de braises, refroidies. Et, finir cette union dans une volute de cendres.
C'est un parfum clivant, on aime ou pas.
Difficile à porter au quotidien. Et, je n'y verrai pas l'intérêt ! Quoique…
IL est majestueux. Puissant. Il offre une belle évolution qui prend son temps.
Séduisant solennel. Plutôt le soir, pour une rencontre, une nuit, pour soi...pourquoi pas!
Il est tellement loin de mon univers olfactif et, si agréablement proche de ce que, je souhaitais qu'il possède et m'offre.
C'est une splendeur!
Une oeuvre d'art? Un tableau de Pierre Soulage sauvé du feu...
À tester